Artiste pluridisciplinaire, originaire de Cape-Town et marseillaise d’adoption, Bongi mène une correspondance insolite entre deux continents, mêlant Afro, jazz, pop-folk et blues zoulou dans un crépitement de voix et d’énergie qui ravivent les traditions musicales d’Afrique australe. Ses chansons en Xhosa, son idiome natal et langue de Nelson Mandela, claquent sous le palais et tracent un arc musical panafricain à la fois magnétique et ensorcelant. Le métissage fertile d’une culture en exil. Dans les incantations ou dans les chuchotements, Bongi sait donner du souffle à la musique de ses racines sud-africaines. En l’arrosant de sa voix polymorphe, suave ou grave, de ses envolées mélodiques ou encore de son troublant chant diphonique, auquel elle donne un éclat inouï̈ dans l’écrin délicat des guitares et des rythmiques tout-terrain. Lorsque se brouillent les frontières, l’hybridation de Bongi semble encore plus claire : sa world-pop s’épanouit quand elle prend langue avec le maskanda, ce blues polyrythmique zoulou, ou quand la folk-music chargée de spiritualité́ s’emballe au contact des percussions. On en ressort envoûté et saisi par les chants du quotidien, d’amour, de lutte et de nostalgie, qui, révélés sur scène, deviennent irrésistiblement festifs, attisés par l’empreinte solaire d’une artiste à la rayonnante personnalité.
Louise enfile ses premières bretelles à six ans, s’accordant avec bonheur aux premières découvertes musicales que lui offre son instrument. Si sa formation est classique, elle s’initie très vite aux musiques du monde (répertoire argentin et d’Europe de l’Est), explore le répertoire régional local et grandit dans le monde de la chanson francophone.
Portée vers Marseille, elle intègre le groupe Misère et Cordes. C’est là qu’elle expérimente la composition originale, l’arrangement musical, et monte sur les planches de ses premières scènes.
Son premier projet original voit le jour sous le nom de No Man’s Louise, accordant compositions musicales et ouvrage poétique. Les concerts se succèdent à Marseille, en Provence, puis à Paris et toute la France.
La délivrance de magnifiques chansons à textes servies avec l’art et la manière. Des textes si bien écrits qu’ils vous clouent sur place, si joliment composés qu’ils vous trotteront dans la tête longtemps après… Incontestablement, le besoin d’offrir du bonheur, de l’émerveillement et de l’espoir au public transparait à chaque seconde. Une force poétique rare toute en exquise délicatesse. Un concert magnifique. Un moment d’une beauté rare….
Une balade poétique dans les rues de Beaumont…
Une fusion entre voix écorchée, guitare acoustique et claviers planants. En Live, c’est folk, rock, et chanson « à texte » et surprenant… lorsque leurs univers complémentaires basculent dans le rap !
Début 2000, Koutla se lance dans la musique. Il intègre l’univers du Dancehall et du reggae. Il écrit alors ses premiers textes. Quelques années plus tard, il rejoint le collectif Bad Side Crew, constitué de compositeurs et de chanteurs. Lors de cette période, il participe à des mixtapes et se produit sur plusieurs scènes. Après deux années d’expériences et d’enrichissement musical, le groupe se dissout. Koutla continue d’écrire et décide de poursuivre la musique en solo : guitare/voix. Le Dancehall disparait peu à peu de son registre.
Petit à petit, son univers musical change, en s’influençant de styles musicaux variés qu’il écoute au quotidien : Sizzla, Mano Solo, Renaud, Brassens, NTM…
Son morceau intitulé Grève (2010) ouvre une nouvelle page dans sa vie artistique. Ce titre marque un nouveau style d’écriture basé sur son expérience personnelle, au travers duquel il dévoile une partie de lui-même. Sa composition en est également changée, et dès lors, il crée son véritable univers musical, qui appartient désormais à la chanson française. Il écrit de plus en plus et c’est dans les rues parisiennes qu’il se confronte dans un premier temps à son public. Il prend goût à ces instants de partage spontané et les multiplie. La rue est devenue pour lui le meilleur endroit où tester ses nouveaux morceaux.
En 2014, Koutla part en studio pour enregistrer un EP 7 titres. De nombreux musiciens ont participé au projet. Les arrangements ont été pensés pour habiller des chansons venant du guitare/voix. L’objectif était de les sublimer sans empiéter sur la puissance des textes et la voix si particulière de l’artiste. Dès lors l’univers de Koutla s’enrichi une fois de plus.
O’MAKAI est un groupe composé de Tristan, Enzo, Césaire, Mélina, Léon et Lola, tous réunis autour de l’envie féroce de vivre libres, et de transmettre au public cette rage d’exister, cette envie de retourner les problèmes, la galère, et le ridicule jusqu’à en extraire la poésie. Des textes intimes qui bougent, qui donnent envie de danser la tristesse, d’aimer, de crier, d’être ensemble.
Coup de coeur des Sons du Lub’ !
Il y a des choses de l’enfance que seule l’enfance connaît ». Des choses que les grands sont trop grands pour comprendre, des sensations que l’on oublie. Des bruits trop forts, des climats trop trépidants. Des fêtes qui ne sont pas pour les enfants. Concocter un concert aux (très) jeunes enfants quand on a quarante ans, quelle ambition ! Et quelle tête aura ce concert, quand on vient du latin-jazz, de la pop, du rock ou de la chanson ?
Baby Boum, c’est du lâcher prise anticipé. Un cadre où tout serait prévu pour que des bambins de tous âges puissent prendre tous les plaisirs qu’offre la musique : le son, la danse, les percussions, le corps, la tête. Baby Boum veut permettre aux enfants et aux parents de se laisser aller, sans se demander s’il y a quelque chose à casser. D’aller danser quand on le souhaite, d’assister à un spectacle à sa mesure, et de partager des refrains redécouverts, que les adultes chantent aux enfants depuis la nuit des temps…
Arnaud et Marine travaillent ensemble sur la Bulles à Jeux. Un projet qui est parti de l’envie de jouer, de créer et de bricoler. Fortement encouragé à poursuivre et développer l’aventure, ils ne cessent de créer, fabriquer et tester…
Arnaud et Marine seront présents pendant le festival pour vous faire découvrir leurs jeux, un moment de rigolade entre deux concerts !
La Marmite est un collectif composé de 9 rappeurs : Li, Blauz, Jook, Sysy, Duarte, BeuhBeuh, Saumon, MC Gareth & Arizki.
Tous unis par le désir de transmettre nos émotions au public et l’envie d’apporter sur scène cette (nouvelle) recette, faite à notre sauce. Nous sommes liés par une forte amitié de longue date, qui nous rassemble et ne cesse de grandir. Des textes, mélodiquement et rythmiquement riches, prennent forme grâce au mélange des différents ingrédients que chacun vient incorporer dans la musique que nous proposons
Tropical Raclette, fanfare de Marseille, famille des « fanfares de rue », grand écart musical, Nawak et grand Kiff au rendez-vous !
Né d’un mélange des cultures 𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝗲, 𝗽𝗼𝗿𝘁𝘂𝗴𝗮𝗶𝘀𝗲 𝗲𝘁 𝗶𝗻𝗱𝗶𝗲𝗻𝗻𝗲, il s’agit d’un genre de musique qui reprend 𝗹𝗲𝘀 𝗿𝘆𝘁𝗵𝗺𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝘀𝗮𝗺𝗯𝗮, le tout créé par 𝘂𝗻 𝗲𝗻𝘀𝗲𝗺𝗯𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗽𝗲𝗿𝗰𝘂𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗯𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗹𝗶𝗲𝗻𝗻𝗲𝘀. Les ritmistas (musiciens membres du groupe de musique) sont très présents au Brésil, en particulier dans les différentes écoles de samba de Rio de Janeiro qui concourent lors des défilés du carnaval de la ville.𝗘𝗻𝘃𝗶𝗲 𝗱𝗲 𝗱𝗲́𝗰𝗼𝘂𝘃𝗿𝗶𝗿 𝘂𝗻𝗲 𝗯𝗮𝘁𝘂𝗰𝗮𝗱𝗮 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗶𝘁𝗲𝗿 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗯𝗼𝗻𝗻𝗲 𝗮𝗺𝗯𝗶𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗾𝘂’𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗽𝗿𝗼𝗰𝘂𝗿𝗲 𝗴𝗿𝗮̂𝗰𝗲 𝗮̀ 𝘀𝗲𝘀 𝗿𝗵𝘆𝘁𝗵𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 ? Venir découvrir notre groupe local, Batucalub dont les musiciens, tous vêtus d’orange, sont immanquables !
6 groupes d’exception, 2 scènes, animations, la Bourse aux Instruments et des surprises…
Buvette et restauration sur place.